Des baisses constatées depuis 2020 sur le budget de l’État marocain, une baisse visible dans tous les pays, mais pour Maroc, cela a stagné le développement économique du pays. L’urgence est maintenant de trouver une solution rapide pour stabiliser l’économie de l’État et d’alléger la pression de la crise dans la souche populaire.
Concocter une solution provisoire
Il n’y a pas un seul pays dans le monde qui ne tombe pas en crise économique, sociale et politique même, avec le passage du Covid-19. Un fléau qui a conduit au blocage de tout type de ressources de développement d’un pays. Une crise qui a aussi permis au gouvernement de constater le vrai niveau de ressource économique interne de son pays. C’est également la preuve pour tout le monde de quelle ressource financière ravitaille le plus le budget de l’État.
La solution prise par le gouvernement marocain face à la crise est de créer un fonds spécial pour financer les diverses activités ayant été stoppées par la crise. Bien que Maroc ait été face à la crise en 2008, l’impact du Covid-19 est complètement différent. Ce que vit ce pays aujourd’hui est une double crise : la crise économique qui était déjà fragile depuis 2018 à cause d’une discorde entre l’offre et la demande, et cette crise sanitaire qui va causer l’étouffement de la souche sociale qui ne peut plus faire des réserves.
Comment récupérer la production
Le Maroc compte sur l’appui des Américains pour rehausser son économie. Savez-vous que 50 % de production de textile marocain part en Amérique ? Et sans nier que 27 % des produits marocains sont des Américains. Alors que l’Amérique a déclaré une grosse perte sur leur investissement après la crise. Si le peuple retrouve sa stabilité, ils peuvent récupérer la grande partie de la perte de production en 2023.
Le programme de soutien de ménage des peuples a été lancé en espérant donner de l’oxygène pour les petites entreprises de redémarrer leur machine. Il est temps aussi de passer à la négociation auprès de la Chine et des États-Unis pour le payement des dettes.